Si tout semble lui réussir, Simon Boulerice avoue cependant être complètement inadéquat dans une cuisine. C'est à partir de ce constat qu'il tisse ce récit intime aussi tendre que ludique, un hommage improbable au célèbre ouvrage La cuisine microondes de Jehane Benoît.
À travers des confidences touchantes, des fragments poétiques, des photos délicieusement décalées et des dialogues fictifs avec la grande dame de la cuisine, l'auteur explore son rapport à la vie domestique.
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Si tout semble lui réussir, Simon Boulerice avoue cependant être complètement inadéquat dans une cuisine. C'est à partir de ce constat qu'il tisse ce récit intime aussi tendre que ludique, un hommage improbable au célèbre ouvrage La cuisine microondes de Jehane Benoît.
À travers des confidences touchantes, des fragments poétiques, des photos délicieusement décalées et des dialogues fictifs avec la grande dame de la cuisine, l'auteur explore son rapport à la vie domestique.
Est-ce que Jehane parviendra à réveiller le cuisinier qui sommeille à poings fermés en lui ?
«Selon Jehane Benoît, il existe trois utilités au micro-ondes: cuire, réchauffer et décongeler. J'en ajouterais une quatrième : chronométrer la longueur des exposés oraux. Après le spectacle de l'éclatement du popcorn, c'est mon second lien avec cet électroménager. Tout mon primaire et mon secondaire, je répète mes présentations scolaires à côté du petit four sur lequel ma mère a préalablement fixé le décompte.
Le four à micro-ondes a changé ma vie. Si la nourriture que l'on avale nous aide à nous propulser, cet électroménager domestiqué dans les années 80 est un ressort nécessaire à chacun de mes sauts.»